[Hors ligne pat09]

on a le retour du tout social, de " ces pauvres petits gars "....
Quand je vois le scandale qu'a fait le mot racaille comment vouloir dire maintenant qu'il ne faut pas voler,tabasser à ces laches??

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[Hors ligne François Guérin]

slt,
et qu'est ce que vont avoir les agresseurs  un pseudo procès avec du sursis maintes fois répéter!!! bientôt nous serons obligé de s'autoprotéger. triste réalitée que de voir un état qui ne défend plus ces citoyens, ceux qui le fond vivre..... :'(

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[Hors ligne fatiha]

pas d'autres mots que lamentable, minable

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[Hors ligne le calabrais]

Hérault Un restaurateur roué de coups par des clients impatients de dévorer leur pizza
Les faits se sont déroulés mardi, vers 22 h. Le patron du Saint-Georges a été blessé et est extrêmement choqué. « Ça a été un déchaînement de violence. On le voit sur la vidéo, c’est l’horreur, comme ce que l’on voit sur internet… » Encore extrêmement choqué, Philippe Molto raconte. Comment le patron du bar tabac-presse et restaurant Le Saint-Georges, situé à Saint-Georges-d’Orques, a été violemment agressé, mardi vers 22 h.

Tout a commencé lorsqu’un groupe d’une dizaine de personnes est arrivé pour commander des pizzas, vers 21 h 10. Une commande que le restaurateur et son équipe allaient honorer mais qui a pris quelques minutes. Normal dans la mesure où le restaurant avait d’autres clients à servir. Las, cette attente n’a visiblement pas été
 
du goût des intéressés. Lesquels - cinq personnes appartenant à la communauté des gens du voyage et domiciliés à Saint- Georges, Palavas et Montpellier - l’ont vertement fait savoir à Philippe Molto, avant qu’au moins un n’exhibe un couteau et qu’une rixe éclate.

Bilan ? Philippe Molto a été roué de coups, a reçu des coups de bouteille au niveau du cuir chevelu (on lui a posé cinq points de suture) et a évité d’être blessé par un couteau sorti par l’un des protagonistes. Par ailleurs, un autre Saint-Georgien venu l’aider a également été frappé.

Prévenus quelques minutes après, les gendarmes de la brigade locale sont intervenus et ont réussi à interpeller l’un des suspects. Les quatre autres ont été rapidement identifiés et ont été convoqués, hier matin, à la brigade de gendarmerie. À leur arrivée, ils ont été placés en garde à vue. Une mesure visant à déterminer le rôle exact tenu par ces garçons au cours de la soirée. D’autant, indique Philippe Molto, « qu’aujourd’hui (hier, NDLR), j’ai reçu des messages d’intimidation ainsi que mes proches ».

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