0 Membres et 1 Invité sur ce sujet
Encore un truc qui fait beaucoup de bruit, mais qui n'ira pas très loin...
Nous on n'a pas besoin de l'écrire, puisqu'on le fait devant le client en toute transparence !Par contre ce n'est pas du fait maison, mais du fait "pizzéria"... Au fait, ceux qui bossent en camion, ils auront le label "fait camion "? c'est du grand n'importe quoi !
Bonjour,après lecture des textes,j'en déduis que la fabrication de pizzas avec tomate en boîte,mix de farine ect... peut avoir l'appellation "fait maison"le texte ci dessous explicite bien la situation:Quels produits non bruts peuvent entrer dans la composition d’un plat « fait maison » ?Il s’agit de produits qui servent à la fabrication des plats mais dont un consommateur normalement exigeant ne s’attend pas à ce qu’il soit confectionné par le restaurateur. C’est par exemple le cas du pain même si certains restaurateurs proposent du pain qu’ils fabriquent eux-mêmes. C’est aussi le cas des fromages, des condiments, du café, etc... qui sont des produits transformés mais qui peuvent toutefois être acceptés dans la préparation de plats « faits maison ».La liste des produits qui figurent dans le décret, au III de l’article D121-13-1 (produits transformés admis dans l’élaboration) s’efforce d’être la plus complète possible même si elle ne peut viser à une parfaite exhaustivité. Elle a été constituée en étroite collaboration avec les organisations professionnelles de la restauration en se fondant sur plusieurs critères. Elle regroupe ainsi des produits non bruts, qui servent à l’élaboration d’un plat sans pouvoir être eux-mêmes directement consommés comme par exemple les matières grasses alimentaires, les farines, la levure, la gélatine, les fonds, les concentrés. Elle regroupe également des produits confectionnés par d’autres professionnels et qu’il n’est pas de tradition de demander aux traiteurs ou aux restaurateurs de fabriquer comme le pain, les charcuteries, les fromages, les fruits confits, les vins et alcools.